Une enseignante-chercheuse de la faculté des sciences et technologie honorée par l'IUF

Titulaire d’un master en biologie intégrative et physiologie de l’Université Pierre et Marie Curie à Paris, Carole Hénique-Gréciet a fait sa thèse de doctorat en physiologie et physiopathologie à l’Institut Cochin (Inserm U1016 CNRS UMR8104) sur l’oxydation mitochondriale des acides gras à chaîne longue dans le muscle squelettique.
Désireuse d’une mobilité thématique, elle a réalisé un post-doctorat au Paris-Centre de Recherche Cardiovasculaire (PARCC) sur la physiopathologie des glomérulopathies pendant 5 ans. Puis, elle a été recrutée en tant que maître de conférences en biologie moléculaire (CNU 64) à la faculté des sciences et technologie en septembre 2015.

Côté recherche, Carole Hénique-Gréciet est membre de l’équipe Sahali (Physiopathologie des maladies glomérulaires) à l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB) de l’UPEC. Elle y dirige un groupe de recherche sur l’étude des mécanismes cellulaires et moléculaires de la toxicité rénale des traitements anti-cancéreux. Ce projet s’inscrit dans le développement d’un nouvel axe de recherche émergent en néphro-oncologie. Elle est auteur d’une trentaine de publications dans des revues à comité de lecture et co-inventeur de 3 brevets (ORCID iD : 0000-0001-5441-8662).

Depuis son arrivée à l’UPEC, Carole Hénique-Gréciet est investie dans la vie collective de l’institut de recherche et de l’Université. Elle est responsable du comité d’animation scientifique de l’IMRB (depuis 2017) et a été nommée comme membre permanent au Comité de Direction de l’IMRB. De plus, elle est responsable des formations doctorales au sein de l’ED Sciences de la Vie et de la Santé et fait partie du Conseil de la Formation Doctorale de l’Université Paris-Est Sup en qualité d’enseignant-chercheur.

Institut universitaire de France

L'Institut Universitaire de France (IUF) a pour mission de favoriser le développement de la recherche universitaire de haut niveau et de renforcer l'interdisciplinarité. Il a été créé pour permettre que l'activité scientifique d'enseignants-chercheurs de haut niveau soit reconnue et encouragée dans leur université d'appartenance. L’ensemble des membres de l’IUF représente environ 2% de la totalité des enseignants-chercheurs de France, tous domaines confondus.